- A quoi bon ? -
Point d'Intérogation
27/10/2008
- A quoi bon ? -
Croqué par Blackstory à la ronde de : 01:41 0 Murmures
Libellés : Bizarreries, Je vous emmerde
Babelio
26/10/2008
Je voudrais présenter, à ce qui ne connaisse pas encore ou plutôt qui n'ont pas encore la joie de connaitre, un site internet communautaire d'un autre genre.
Quand on parle de site communautaire on pense forcément à MySpace, Facebook et Co.
Mais là il s'agit de tout autre chose.
Que vous soyez lecteur occasionnel ou dévoreur de bouquin.
Que lire soit un simple passe temps ou, comme pour moi, un vrai besoin.
Que vous possédiez l'œuvre complète de Victor Hugo ou seulement les sept tomes d'Harry Potter.
Que vous en ayez un ou que vous en chérissiez des milliers.
Peut Importe.
Babelio est fait pour vous.
Le principe est simple.
Babelio est une bibliothèque virtuel qui permet à tous et toutes de partager le contenu de sa bibliothèque.
Notez vos lectures.
Laissez des critiques.
Trouvez dans la bibliothèque des autres vos prochaines lectures.
Découvrez de véritable trésors à lire.
Et bien d'autre chose encore.
Vous n'êtes pas encore tentez par l'expérience ?
Pourtant Babelio est facile d'utilisation.
Moi qui croyait que j'allais devoir rentrer manuellement : Auteur, Editeur, ISBN.
Et bien non. Rentrez un titre, un auteur, ou un bout d'un des deux et choisissez simplement dans la liste. Cliquez sur ajouter et c'est fait.
Ne perdez pas l'occasion de découvrir ce qui se cache dans la bibliothèque des autres.
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Ma Bibliothèque
Croqué par Blackstory à la ronde de : 23:40 0 Murmures
Libellés : Livres et Lectures
Etriqué : Portrait d'un chez soit exigu
Il y a des nuits comme ça.
Des nuits qui sentent l'encens.
Ou l'envie d'écrire devient intenable.
Comme une envie de baiser, ce genre d'envie vous prend au tripe, au plus profond de vous.
Elle mélange et brasse tous vos sens pour qu'une cacophonie naisse en vous.
Pour que prie de panique et avec acharnement vous saisissiez l'instant et toutes vos pensées sur une feuille de papier et/ou sur un clavier d'ordinateur comme je le fais à l'instant.
Il est minuit et cinquante trois minutes et nous sommes le dimanche 26 Octobre.
Je suis sur le balcon de nôtre chambre. Je respire de l'air frais et il fait froid dehors.
Le sol est crade, plein de poussière déposées par cette merde de pollution permanente.
La chambre est rempli de fumée. Un vrai petit aquarium. L'encens dégage une odeur particulière, que je ne saurais décrire quand là comparent à une odeur de poussière de terre et de thym brulé.
Un courant d'air glace mes reins.
A ma droite. La rue. Trop éclairée. Trop bruyante et surtout beaucoup trop résonnante.
Je n'aime pas cette rue. Elle ne m'inspire pas confiance. Je n'y suis pas à l'aise.
A ma gauche. Nôtre chambre. Mon compagnon s'affaire à sa tâche et range comme il le peut nôtre petit nid d'amour.
Dans cette chambre : 9m² s'entasse toute nôtre vie. Enfermé comme dans une cage. On tourne en rond au fil du temps.
Nous y somme six.
Moi & Lui.
Deux rats.
Une souris.
Et une gerbille.
Il fait si froid.
Si vous y pénétriez maintenant vous y verriez ce qui suit.
Une bougie et de l'encens y brulent.
Une épaisse et douce fumée grise y flotte.
Le lit n'est pas fait et des livres trainent un peu partout sur le bureau et sur le sol.
Sur les murs maintes choses s'y côtoient.
Des posters de groupes.
Des affiches artistiques. Dont un d'Enki Bilal.
Des cartes postales.
Deux drapeaux. Slipknot et U2.
Et des photos. Des dizaines de photos qui couvrent et recouvrent les murs.
Quelques autres affiches. Notamment celle des Médiévales de Brignoles des deux dernières années. Exploit de ma chère maman qui à réussis avec son charme à les quérir aurpès de gentils commerçant.
Deux tableaux représentants Marilyn Monroe.
Et un crucifix.
Le lit est à même le sol. [On fait se qu'on peut avec les moyens du bord]
A côté du lit se trouve respectivement à droite et à gauche de enceintes, avec sur l'une d'elle ses Warhammer. Et sur l'autre une platine Disque et sur la platine disque : Des figurines de la Sainte Vierge, de Saint François, de Saint Jean-Baptiste, de Sainte Thérèse de Lisieux. Ainsi que des cierges. Un blanc. Un bleu. Un rouge. Puis des bougies et de l'encens sur un charbon ardens.
Puis nôtre minuscule bibliothèque. Pleine à craqué elle crache ses livres sur qui veut.
Devant cette même bibliothèque se trouve sur un présentatoir.
Une basse électrique. La sienne.
Et une guitare acoustique. La mienne.
Encore à côté se trouve quelques Cd's rangé convenablement dans leur meuble en bois de chez Ikéa.
Dessus la bibliothèque se trouve la télé. Les consoles de jeux et l'ampli. Et devant les jeux vidéo qui vont avec.
En face du lit se trouve un coffre bleu ou la grande cage de nos rats y est disposé. A sa droite il y une petite table de nuit en bois [Made In Ikea] et un bureau. Enfin c'est plutôt un grand plan de travail. Tout le reste de nôtre vie y est dessus.
Encore des livres. L'ordinateur. Les cages des souris. La chaine Hifi. Les Dvd's. Encore des jeux videos. Puis des papiers.
Encore à droite après le bureau. Il y a une chauffeuse. Avec des vêtements et des papiers qui trainent dessus en tas. Puis encore à droite. A 20-30cm. Le placard. Encastré dans le mur dont seul la moitié nous est destiné.
Au milieu de la pièce. Un tapis un peu crasseux. Une chaise en bois. Et un fauteuil en cuir.
Nos pantoufles mal alignées ainsi quelques livres trainent de ça, de là.
J'allais oublié. La plante verte devant la fenêtre. La bambou et les roses rouges séchée dans leurs vases respectifs sur l'étagère. Ainsi que les rideaux : Le couples de voilage orange et celui en velours bordeaux épais.
Bienvenue.
Portrait d'un chez soit exigu, by Sandrine.B In 01:22.
Soit 1h38 avant le changement horaire.
Croqué par Blackstory à la ronde de : 00:51 0 Murmures
Libellés : Parcelle de moi, Parcelles de vie
Les moments d'une vie
Il y a ces moments.
Ces moments ou je me sens forte, capable de tout.
Je sens mon cœur battre clairement et régulièrement.
Je contrôle mon souffle et ne me sens plus agressé par le regard des gens.
Je me sens belle et je suis sûr de moi.
Une seule pensée trotte dans ma tête.
"Je vous emmerde tous !"
Le temps se ralentit et je vois toute choses défiler devant moi à vitesse grand V.
Oui mais en général ces moments là sont les plus rares.
Généralement, les sensations sont bien moins belles.
Je me rabaisse moi même. Mentalement.
C'est stupide je sais. Mais j'ai du mal à ne pas le faire.
Les gens. Tous ces gens que je croire m'agresse par leur regard.
Voir même par leur paroles et je me sens trop faible et dans l'incapacité de les combattre ou même simplement de leur tenir tête.
Dans les moments les plus noirs, je me sens incapable de tout. Je me mine le morale toute seule comme une grande.
La petite chose que j'ai l'impression d'être se dit qu'elle n'y arrivera jamais. Que tous ce que ceux qui l'aiment la croit capable de faire est complètement insurmontable.
Pourtant au fond de moi je sais très bien que je suis ne suis pas cette petite chose que je me considère être. Et quand j'arrive à accomplir de plus ou moins grande chose, je ne suis pas fière de moi. Je ne me dis pas que j'ai enfin réussi que se fut difficile ou d'autres choses dans le même genre.
Non.
Je ne me dis rien en réalité. J'ai juste fait ce que je devais faire. Je n'ai accompli aucun miracle. Aucun exploit.
Les miracles sont réservés à Dieu. Et les exploits sont fait pour d'autres.
Je me contente de faire ce que je fais.
Malgré tous ça, je continue inlassablement à me sous-estimer.
Cela doit être pour moi un moyen de protection face à l'échec. Une échappatoire d'urgence en cas de non-réussite. Une excuse bidon pour dire que c'était pas ma faute. Pour accuser les autres de m'en avoir demandé trop.
La bonne nouvelle c'est que cette putain d'habitude de lâche est entrain de s'estomper à grande vitesse. La mauvaise est que je finis par me sur-estimer. Au final on m'en demande beaucoup trop en ratio de ma capacité physique et mentale. Et bêtement [encore] je continue à dire oui sans bronché et à me crever pour le petit plaisir de tous.
Et les "merci" dans l'histoire, j'en reçois pas beaucoup.
Mais les "merci" comme je dis si bien, j'en ai rien à foutre.
Si je vivais pour ça. Je me serais tiré une balle depuis longtemps.
Envie d'écrire : Les moments d'une vie, Sandrine 26/10/2008
Croqué par Blackstory à la ronde de : 00:34 0 Murmures
Libellés : Parcelle de moi
La Terre vu du ciel
22/10/2008
[Te Amo]
Tu me dis que c'est le cosmos qui commande.
Je te réponds que la Terre est belle vu du ciel.
_________________________________
Tu me montres la Terre.
Tu me dis que tout recommence toujours,
la vie aprés la mort, la paix après la guerre,
l'ordre après le chaos.
________________________________
L'homme
Les hommes tentent de vaincre leurs peurs ancestrales.
Ils se regroupent, mettent en commun leur savoir et leur force.
L'enfant
Ils ont peur de quoi ? De la terre ? Du ciel ?
Ou des autres hommes ?
L'homme
Six milliards de visages.
Six milliards de veines bleus et d'artères rouges.
_________________________________
L'homme
Dans le pays des cinq sens, je retrouve les images merveilleuses
d'un paradis perdu dont je n'ai pas encore été chassé.
___________________________________
L'homme
Entre avec moi dans ce pays extraordinaire
où les arbres portent leurs racines sur la tête.
__________________________________
L'homme
En écoutant les oiseaux,
nous avons appris le langages articulé.
en frottant des silex,
nous avons découverts le feu.
En taillant la pierre,
nous acons inventé les armes...
_____________________________
L'homme
Cela a peut-être commencé comme ça ...
dans le fracas et la tempête...
_______________________________
La Terre vue du ciel
(Te Amo)
Croqué par Blackstory à la ronde de : 22:45 0 Murmures
Libellés : Extraits Choisis
Mother save us
Aride terre vierge
Et puis, les voix se sont levées
Sauvez-nous
Et Il a répondu
Levez-vous
Et la terre à poussé
Et ça et là
Des différences sont apparues
Vous êtes l'un.
Je suis l'autre.
Lui seul peut voir que
Tout est un
Et les voix se sont levées
Et Il a entendu
La douleur, la faim, les pleurs
Les animaux ont pleuré
Mère sauvez-nous
Les arbres ont pleuré
Mère sauvez-nous
Les insectes ont pleuré
Mère sauvez-nous
Puis la terre à pleuré
Mère sauvez-nous
Mother save us, John Bowell
Croqué par Blackstory à la ronde de : 22:36 0 Murmures
Libellés : Extraits Choisis
Carte d'Instant(s)
20/10/2008
[J'ai encore piqué un truc à La Renarde. J'espère que tu ne m'en voudras pas. J'ai trouvé ceci tellement bien fait et tellement interrogeant que j'ai pas pu m'empêcher de recopier et de le modifier car certain intitulé ne me parlait pas du tout]
Sur la table de chevet : L'homme-arbre, Tome1: L'étoile polaire, Joann Sfar
Dans la tête : Mainte chansons idiote et des passages du livre cité ci-dessus.
Dernière absurdité entendue : Pas entendu mais lu. Le moi de mai est dorénavant considéré par certaine personne comme un verbe voir comme un adjectif possessif.
Dernier objet trouvé : De jolie carte postale. Des livres.
Dernier coup au cœur : Samedi dernier.
Dernier fou rire réprimé : Je ne réprime que très rarement mes fous rire. J'aime rire et j'emmerde ce qui me regarde de travers quand je m'esclaffe en pleine rue.
Dernier film [Série] : The L Word. Un à deux épisodes par jours.
Dernière notes : Des pensées échouées.
Promenade : Envie.
Saveurs : Pâte d'amande. Stollen. Et Mousse au chocolat.
Senteurs : La Terre Humide.
Gens, gentils : Une DemoiZ'lle sur Msn que j'ai tant de plaisir à aider, écouter et converser.
Frivolité(s) : Vider mon compte en banque en achetant des bouquins et envahir la chambre avec.
Sous les coups de plumes, sous les coups de pattes : Comprendre. Avancer.
Croqué par Blackstory à la ronde de : 01:36 0 Murmures
Libellés : [ Moments d'égarements ]
La demoiZ'lle aux Chaussettes en Dentelle.
18/10/2008
Nous Samedi.
Cette fille assise juste là devant son ordinateur. Cette fille là est un peu triste au fond d'elle même.
Entre ses projets qui sont très loin de se réaliser et la vie qui lui fait perdre espoir elle à la nette impression que tout vas mal.
Il y a des moments ou un sourire ne change rien.
Il y a des moments ou il ne faut pas sourire.
J'ai envie d'écrire. Tellement envie.
Mais tous ce bloque en moi et rien ne veut sortir.
Mes rêves sont bon à jeter. Plus des cauchemars que des rêves d'ailleurs.
Et vous ? Cauchemardez-vous aussi chaque nuit un peu plus ?
La vie et son sens m'échappe complètement. Un instant je cru comprendre. Je cru savoir.
Les significations sont éphémères.
On croit saisir quelques choses et l'instant d'après on ne comprend plus rien.
In ne comprend plus rien aux personnes et aux sentiments. On ne reconnait plus les lieux et les paroles.
Tout change sans qu'on s'en appercoive. Et puis un jour finalement on s'en appercois et le changement est si brutal qu'on en perd la tête.
Même les étoiles et le ciel que l'on croit si bien connaitre change chaque nuit sans que nôtre oeil si fragile et si aveugle puisse s'en appercevoir.
Peut on vraiment compté sur le savoir que nous apporte les personnes avec qui nous échangont des mots ?
Je n'ai plus confiance en ce savoir là.
Je ne suis plus sûr de savoir qui de l'être humain ou du livre serat le plus à même de me réconforter.
Une feuille de papier blanche me tiendra un plus beau discours que la plus part de ses cons avec qui je discute.
Pourtant une après-midi dans la rue une discution née assez abruptement entre deux inconnus. Et malgrès ce que j'en pense j'en ressort souriante.
Es-ce vraiment mal d'avoir du plaisir de faire plaisir au gens ?
"Gens"
Je n'aime vraiment pas ce mot.
Mes paroles sont surement vaines.
Je ne parle plus mais je crie. Je ne me sens ni écoutée ni comprise.
Malgrès que je ressente un non sens profond pour ce que je suis entrain de faire cela ne m'empêche pas [moi, la fille étriqué dans son chemisier noir moulant des chausettes en fine dentelle au pied] d'écrire ou plutot de deverser un flot de mots et de phrases comme je le fais.
Je ne pense même plus à force de penser. J'essai de me dire simplement cette phrase en y mettant un beau point afin qu'aucun autres mots de coule derrière :
"Tu vas y arriver les choses se feront d'elle même."
Je crois que le point à eu plus ou moins sont effet. Je n'ai peut être pas arrêté de penser [ Je pense que d'ailleurs c'est quasiment impossible pour moi d'arrêter de penser en dehors de mes moments de méditations intense] mais j'ai arrêter de penser à cet echec probable.
Je laisse aller tout en essayant quand même de remettre les choses en ordre.
Je ne me laisserais pas faire. Cette fois-ci ni la déprime, ni ma propre déception de moi même, ni mes doutes ne me feront baisser les bras.
Changeons de sujet.
Avant hier j'ai acheté 25 boites d'encens. De vrais encens d'Inde. Et une boite d'encens Tibetain.
J'ai enfin reussi a trouver une boutique qui vendait des charbons ardens. Enfait j'en ai trouvé deux. Une [Celle ou je les ai acheté] ou j'ai payé mon petite paquet quasiment 4€ et une autre [Celle ou j'ai acheté l'encens] ou il coutait 1,50€.
Je sais ou aller maintenant pour acheté mon charbon.
L'amour de la vie m'a offert un livre que je zieuté depuis quelques jours. Je le présenterais à l'occasion. Enfait il m'a offert 3 livres. Et je lui en ai offert un.
On aime se faire des cadeaux.
Cette année en octobre c'est déjà Noël.
Le petie Jésus naitra à la Noël et les cadeaux qu'on se fait en l'honneur de sa naissance rende mon Kevin heureux maintenant.
Aprés la Basse qui lui manquait tellement.
Le Foisonnement de jeux video qu'on s'est payé.
Et la jolie paire de Ranger que j'attend par la poste.
Non pas que des objets matériels puissent rendre heureux quelqu'un.
Mais la musique. Jouer. Ca lui fait tellement de bien. Alors le voir sourire alors qu'il n'allait pas bien. Ca n'a pas de prix et ce n'est pas matériel.
Juste sentimental.
Aprés ce Cafouillage.
Place à d'autre choses.
Croqué par Blackstory à la ronde de : 15:04 0 Murmures
Libellés : Parcelle de moi, Parcelles de vie