En regardant les noms des rues j'ai toujours pensée à l'histoire qu'elle racontait.
Je cherchais le rapport. Le tout petit indice ou pend de mur qui aurait un rapport avec cette histoire.
Les rues nous racontent des histoires et bien plus encore. Elles racontent l'Histoire avec un grand "H".
J'y ai toujours pensée.
Mais je n'ai jamais vraiment cherché à allé plus loin. En me renseignant sur cette histoire justement.
Prenons quelque rues au hasard dans la ville ou justement parfois je traîne mes pas au hasard.
La plus connu. La plus emprunté. Celle que tout le monde connait ici.
Le Boulevard de Strasbourg.
Facile.
Ce boulevard nous parle de Strasbourg.
Oui mais ... Quoi Strasbourg ?
Bon. C'est dit. Ici je pose les questions et je trouverais surement les réponses ailleurs en d'autre temps.
Suivante.
Avenue du XVéme Corps.
Alors là je pense à un régiment. Je sais pas ce qu'ils ont bien pu faire. Ni Quand. Ni Ou.
Mais ils l'ont fait.
Après.
Avenue Aristide Briand.
Hum. Hommage à un grand homme politique et à un prix Nobel de la Paix.
Aristide Briand en 14 lignes selon Wilkipedia.
Aristide Briand, (29 mars 1862 à Nantes - 7 mars 1932 à Paris) est un homme politique et diplomate français qui occupa de hautes fonctions au sein des gouvernements français successifs : onze fois président du Conseil et vingt fois ministre. Il reçut de plus le Prix Nobel de la paix en 1926.
Sa grande œuvre, qu'il poursuivit sans relâche, jusqu'en 1932, fut la réconciliation entre la France et l'Allemagne. Pour cela, il reçut avec son homologue allemand, Gustav Stresemann, le Prix Nobel de la paix en 1926, après les accords de Locarno. En 1928, poursuivant son rêve de la paix par la sécurité collective dont l'axe serait la Société des Nations, il signe avec l'Américain Kellogg un pacte qui veut mettre la guerre hors-la-loi. Finalement, la construction diplomatique, patiemment élaborée par Aristide Briand, était seulement un château de sable qui s'est écroulé sous les coups de butoir de la crise économique de 1929, de la montée du nazisme et du communisme. Briand a agi au mieux dans les circonstances qui lui étaient données et son grand rêve se réalisa après-guerre dans l'ONU et dans l'Union européenne.
Bon. Je me pose d'autres questions plus généraliste.
Comment sont donnés leur nom au rue, boulevard, avenue, impasse etc... ?
Pourquoi à certain endroit des noms, des événements et des lieux célèbres. Alors que d'autre rue passe dans l'anonymat d'une appellation qu'on dirait trouvé à la vas-vite ?
J'ai envie de découvrir ma ville.
De découvrir les histoires qui hantent certaine des rues pavées de Toulon.
[Trucs qui ont rien à voir avec l'histoire des rues] J'ai aussi envie de découvrir tous ces hauts monuments Toulonnais. J'habite la ville au Fontaine et je ne viens de l'apprendre que Hier.
Je voudrais voir ses fontaines.
Toutes ses fontaines.
Je voudrais photographier ma ville sous toutes ses coutures.
J'ai habité Toulon quasiment toute ma vie. De mes 2mois à aujourd'hui. Et pourtant c'est seulement aujourd'hui que je me sens chez moi. Pour la première fois j'affirme que Toulon c'est ma ville. Celle ou je vie. Celle de mon enfance. Ma ville natale.
J'ai du murir. Ou trop réfléchir. Ou je ne sais quoi. T'être je suis juste ivre de coca. Ou t'être encore qu'avoir enfin une vie à peu prés comblé m'a fait prendre consience de tout plein de chose.
Enfin pour en revenir à nos moutons de tout à l'heure. Les rues.
Voilà. J'aime les rues et leurs histoires et j'habite dans l'Impasse des platanes.
Là je vous éclaire le mystère d'ou j'habite. L'impasse ou j'habite est bordé de platanes.
Putain qu'ils se sont pas cassé le cul pour lui trouver un nom à celle là.
A l'âge de 14ans je suis passé de l'Avenue Aristide Briand et à tout sont prestige honorifique de l'hommage à l'impasse des platanes et tout l'anonyma d'habiter une rue qui ne signifit rien d'autre que ce qui saute aux yeux.
Je me dis quand même.
Si dans 10ans ou même 20 il n'y a plus de platanes dans cette impasse.
Les nouveaux habitants saurant en lisant sont nom qu'un jour au millieu du béton surgissait de haut et vaillant platanes accompagné de leurs feuillages au printemps et exibant leur corps nu l'hiver.
Oui là. Cette impasse aurat une histoire. Pour l'instant elle a du présent.
[PS : Pour ce qui s'imaginerait que je donne mon adresse comme ça sur le net comme une petite inconsciente. Que je déclame comme ça que j'habite dans l'impasse des platanes à Toulon.
Et pour ceux qui se diraient chouet' je vais pouvoir aller la faire chier.
Et pour ceux qui se diraient putain la conne.
Et pour ceux qi se diraient que j'suis une inconsciente.
Je précise que.
Il y a 100 appartements dans cette impasse.
Donc plus de 200 personnes qui y habitent.
Puis que c'est dans une cité HLM alors forcément ...
Faut pas venir faire chier. C'est mort.]
Histoires de Rues. Rues des Histoires.
19/07/2008
Croqué par Blackstory à la ronde de : 00:16
Libellés : Bizarreries, Parcelles de vie
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1 Murmures:
Il faudrait avoir accès au archive de la ville pour comprendre chaque histoire de chaque rue, avenue, impasse, boulevard, place, arrêt de bus. . . Et encore pas sur que ça soit dans les archives.
De plus la plupart du temps tu es même plus chez toi
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