Chemin Des Fois
Ce fut une autre mauvaise journée au bureau, et une fois encore c’était la faute de cette nouvelle fille, Marie-Anne. C’est l’une de ces Wiccans, une Sorcière. Comment une personne saine d’esprit peut-elle déclarer cela, sachant que cela va contre Dieu et tout les enseignements de la Bible?
Elle n’a même pas la décence de garder son symbole satanique, son collier avec un pentagramme, caché de la vue des gens qui craignent Dieu, ceux qui sont décents au bureau. Elle a du front. Je ne peux pas l’haïr pour ça cependant, car je sais qu’elle a été trompé. Satan travail d’une façon diabolique qu’elle ne voit pas. J’ai vu ce soit disant Crédo Wiccan qu’elle a affiché sur le mur de son bureau. À la surface, cela paraît comme une croyance d’amour, mais ce que l’on doit faire c’est de regarder, regarder attentivement et voir qu’en pratiquant cette voie, et en n’embrassant pas Jésus-Christ en tant que notre sauveur, elle est sur la voie de l’Enfer.
Comme j’ai dit plus tôt, ce fut une mauvaise journée au bureau. Trois fois cette semaine j’ai été appelé au bureau du superviseur, et il m’a dit que je n’avais pas le droit de proclamer la parole de Dieu à Marie-Anne pour lui montrer l’erreur de sa voie. Aujourd’hui mon superviseur m’a dit que si je continuais d’harceler Marie-Anne, il devra me congédier. Comment peut-il faire cela ? Il craint Dieu lui aussi. Et, comment peut-il être aussi tolérant de ce mal qu’il voit s’installer au bureau ?
Tandis que je me couchais la nuit dernière, j’ai demandé à Dieu de me conseiller. “Dieu, montre moi ton vrai visage, de sorte à ce que je puisse mener sur la bonne voie ceux qui sont sans foi”, “Oh, mon vrai visage vraiment? Es-tu sûr que tu sois près, vraiment près de voir, mon garçon?” Je me suis assis droit dans mon lit, et là, au pied de mon lit, avec de long cheveux blanc et une longue barbe blanche, portant une longue robe blanche, se tenait le Seigneur Dieu. J’ai bondit hors de mon lit et me suis agenouillé devant lui, mais il m’arrêta d’un geste. “Ne t’agenouille pas devant moi maintenant mon fils. Au lieu, lève toi et marche avec Moi, de sorte à ce que je puisse te montrer un aperçu de ce que je suis vraiment, comme tu me l’as demandé dans ta prière”.
Il pris ma main, et je remarquai que ma chambre n’était plus là, mais un chemin à travers le bois. Nous avons commencé à marcher et j’étais trop émerveillé pour parler. Nous avons emprunté le chemin de gauche, et nous nous sommes retrouvé à l’intérieur de l’Église de Ste-Catherine, au milieu d’un service. Tandis qu’il se tenait toujours à mes côtés, Dieu semblait s’étendre et remplir l’église entière.
Je pouvais voir des sourires de contentement se faire sur certains des visages. Je me sentis béni. Dieu me sourit. “Les Catholiques tiennent tellement de belles messes, non? J’aime m’arrêter ici dans cette église, non pas seulement parce qu’ils disent de jolies paroles, mais également parce qu’ils vivent la vie, à travers l’enseignement, aidant les gens malades et pauvres, non pas seulement par des dons, mais en les aidant à apprendre à s’aider eux-mêmes. Maintenant continuons notre marche”.
Et nous nous sommes retrouvé sur le chemin. Nous avons voyagé un peu plus loin, et nous nous sommes retrouvé dans le salon d’une maison funèbre. Une jeune femme était agenouillé à côté d’un cercueil, sa tête reposant dessus et pleurant. Je pouvais voir par les traits similaires que ce devait être son père. Dieu s’agenouilla à côté d’elle, et plaça son bras autour d’elle. “Il te manque, c’est correcte, mais ne pleure pas pour lui, car il est maintenant avec moi”. Elle s’essuya ses yeux et se leva avec un sourire triste sur son visage, et dit “Au revoir papa. Tu me manqueras”, elle se tourna et quitta la pièce.
Et nous étions de retour sur le chemin. Nous avons marché un peu et nous nous sommes retrouvé devant une grande loge de quelque sorte. Je pouvais entendre de la musique et des rires sortir par les fenêtres. Je me suis tourné vers Dieu et je fus surpris de le voir non pas dans sa longue robe blanche, mais vêtu de cuir et de fourrures animales, ses cheveux et sa barbe maintenant de la couleur du blé, et une épée attaché à travers son dos. Il avança et je le vis s’approcher d’une personne que je n’avais jamais vu. Tandis que je regardais plus attentivement, je fus surpris de voir que c’était le même visage de celui que je venais de voir mort, mais étant jeune et fort, et vêtu de vêtement paraissant anciens, une hache accroché à sa taille.
Dieu s’avança vers lui et lui fit une grande accolade amicale. “Bienvenue mon fils. Nous t’attendions. Maintenant, va à l’intérieur et va boire un verre ou deux, et rencontre tes frères”. Et avec une claque chaleureuse dans le dos, il envoya l’homme à l’intérieur.
Et nous étions de retour sur le chemin. Nous avons avancé un peu plus loin encore, et nous nous sommes retrouvé dans une mosquée. Du moins je crois, car je n’avais jamais été à l’intérieur d’une mosquée, mais j’avais vu des images. Le groupe d’adorateurs n’était pas nombreux, mais je pouvais voir leurs visages enthousiastes écoutant le mullah parler. Il leurs parlait de pureté, de corps et d’esprit, les menant plus près d’Allah.
Et tandis qu’il parlait, Dieu, maintenant habillé de robes de désert, marchait parmi eux et mettait sa main brièvement sur l’épaule de chacun. Et, sur leurs visages, je pouvais voir que ces hommes savaient que les mots du mullah étaient vrais, et que leurs esprits se sentaient touchés par Dieu.
Et ensuite nous étions de retour sur le chemin. Après avoir marché un peu, nous nous sommes retrouvé dans un village Africain. Des gens avec la peau aussi noire que la nuit, les femmes avec leurs seins honteusement découvert, dansant en cercle au rythme des tambours jouer par un groupe d’hommes. D’une certaine façon, leurs poitrines nues ne m’offensaient pas, et la musique semblait infiltrer mon âme. Dieu était maintenant un puissant lion et il fit un grand rugissement. Les villageois ne semblaient pas entendre, mais les tambours se firent entendre encore plus, et les danseuses dansaient avec frénésie.
Et nous étions à nouveau sur le chemin. Nous avons marché un peu plus et nous nous sommes retrouvé au sommet d’une falaise. Là se trouvait assis, peinturé et couvert de plumes, un vieil homme Navajo. Tandis que je regardais, il semblait se changer en aigle et s’envoler, et nous volions avec lui, planant haut dans les airs, voyant la vue s’étendre sous nous. Et Dieu dans la forme d’un aigle lui aussi, semblait guider cet autre aigle à travers le ciel, au-dessus des montagnes et à travers les vallées, jusqu’à ce qu’il survole un groupe d’hommes. Tandis que je regardais, le vieil homme Navajo n’était plus un aigle, mais un jeune garçon, et il s’assied aux pieds de ces hommes, pour entendre les paroles de ses aînés.
Et nous étions de retour sur le chemin. Nous avons voyagé un peu et puis nous étions dans une clairière au milieu d’une forêt. Je reconnaissais cet endroit. C’était un lieu reconnu pour le culte du diable. Au centre de la clairière crépitait un feu de joie, et des torches traçaient le contour d’un cercle de quelque sorte. À l’intérieur du cercle, se tenaient également en cercle 7 hommes et 6 femmes, vêtus de robes de couleurs diverses, leurs bras élevés vers la Lune. Est-ce que cette femme était Marie-Anne? Je ne pouvais en être sûr. Et Dieu marchait parmi eux dans le cercle, les touchant l’un après l’autre. Il ne paraissait plus comme étant un vieil homme maintenant, mais tandis qu’il fit trois tours autour du cercle, il était en premier une jeune fille, bondissant d’énergie, puis une femme adulte, avec un sourire tendre pour Ses enfants, et finalement, une vieille femme, avec le dos courbé, mais tenant la tête haute pleine de fierté. Et une femme avança d’un pas, et oui, c’était Marie-Anne, et leva sa tête vers le ciel. “Grande Déesse, Mère de nous tous, merci de te joindre à nous ce soir. Reste si Tu veux, va si Tu dois. Sache que tu sera toujours bienvenue dans nos cœurs. Soit bénie!”
Et nous étions de nouveau sur le chemin. Tandis que nous marchions, au loin devant nous je perçu le plus bel homme. Oui, très beau, bien que je ne penserais jamais normalement de cette façon d’un homme. Avec des cheveux blond et une robe dorée, il semblait radieux comme un soleil. Dieu et cet homme doré se firent un signe de tête tandis que nous le croissions, partageant un sourire. “Mon Seigneur, est-ce que c’était un ange?”
“Et bien oui, il est connu comme en étant un par certains. Pour d’autres il est également connu comme étant un Dieu lui-même. C’était Lucifer.”
Et ces mots me firent trébucher. Je ne pouvais pas croire que nous venions de passé le mal ultime. Dieu me regarda, et il savait à quoi je pensais. Il ria un peu. “Penses-y logiquement Mon fils. Le Lucifer que tu connais est un ange déchu, jeté des cieux pour m’avoir défié. Si je suis un être tout-puissant, au-delà de tous, comment a-t-il pu faire cela? Comment aurais-je pu permettre cela?”
“Mais, dans la bible…” je répondis.
”La Bible est un magnifique livre, tout comme le Koran et la Torah et plusieurs autres, mais ce ne sont que des livres, écris par la main de l’homme, non pas par Moi. Et, cela deviendrait un peu confus si la vérité venait à être connue, mais ce n’est pas à Moi à arranger les choses. Ces livres sont magnifiques, mais seulement pour donner des conseils, car chaque individu doit pensé par lui-même.”
Et, je crois qu’il avait raison. “Maintenant, vient, nous devons voyager encore un peu avant de retourner.” Et il pris ma main une fois de plus. Tandis que nous suivions le chemin, nous avons volé parmi les étoiles, nous avons écouté la musique des cieux, nous sommes devenu une petite fleur et un puissant chêne, nous sommes devenu un petit ruisseau et un gigantesque océan. Nous avons butiné de fleur en fleur comme une petite abeille et avons traversé les plaines étant un puissant étalon.
Et trop tôt le chemin nous ramena à ma maison. Dieu tenait ma main un moment encore et me sourit. “Mon fils, tu as prié ce soir pour avoir une vision de mon vrai visage. Pour avoir une vision, tu dois simplement fermer tes yeux et voir ce qui peut être vu. Bon soir.” Et Il avait quitté, et j’étais de nouveau dans mon lit. Ce devait être un rêve, seulement un rêve, ce ne pouvait être réel. À ce moment, une éclaire éclaira ma chambre et le tonnère gronda dans le ciel, et je crois avoir entendu quelque part au loin “Souviens toi, le Seigneur travail de façons mystérieuses Mon fils.”
Ce matin je suis entré au bureau, je suis allé à la machine pour me chercher un café, et me tenant là j’ai remarqué Marie-Anne. Tandis que j’approchais d’elle, je pouvais la voir essayer de se tapir, et je pouvais voir dans son visage qu’elle s’attendait à une autre remarque de moi et de mon livre. Elle semblait essayer de trouver un moyen de s’échapper, mais elle en n’avait aucun. Je me suis avancé vers elle et sourit. “Je crois que je te dois des excuses. J’ai été un peu trop fermé d’esprit, et je n’avais vraiment aucun droit de faire ce que j’ai fait. Ce n’est pas à moi de dire comment tu dois trouver la voie de ton esprit, et j’avais tord de penser de cette façon.” Marie-Anne se tenait là, ne sachant quoi dire. “Donc, je voulais seulement dire que j’étais désolé, et j’espère que tu me pardonneras. Que Dieu te bénisse Marie-Anne, et… hmmm… Soit bénie?”
Vous savez j’ai toujours cru que c’était seulement un énoncé de dire que la mâchoire d’une personne tombe par terre, mais Marie-Anne a fait de son mieux à ce moment là pour me prouver le contraire.
La liberté de Religion veut dire TOUTES les Religions.
~ Auteur Inconnu ~
Source : http://www.templeducorbeau.com/
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